Résumé
Ils sont sept. Les meilleurs dans leur domaine respectif : maniement
d’explosifs, charisme, assassinat, braquage, séduction… Ils n’ont, a
priori, rien en commun mais vont devoir mettre de côté leurs rivalités
et s’associer pour une mission secrète insolite. En cas de succès, ils
pourraient devenir les sauveurs de l’humanité tout entière. En cas
d’échec : la mort ou pire encore. L’enjeu ? Réussir le casse du
continuum.
d’explosifs, charisme, assassinat, braquage, séduction… Ils n’ont, a
priori, rien en commun mais vont devoir mettre de côté leurs rivalités
et s’associer pour une mission secrète insolite. En cas de succès, ils
pourraient devenir les sauveurs de l’humanité tout entière. En cas
d’échec : la mort ou pire encore. L’enjeu ? Réussir le casse du
continuum.
Editeur : Folio
Folio SF – 2014
Folio SF – 2014
304 pages
Dans les parutions du mois d’Avril de la collection Folio, j’ai choisi de lire Le casse du continuum, un livre de science fiction écrit par Leo Henry. Le résumé me paraissait vraiment tentant. C’est donc très confiante que j’ai commencé ce roman.
J’ai adoré toute la première partie. Partie où l’on fait la connaissance de nos sept casseurs. On fait leur rencontre à tour de rôle au cours d’une de leurs missions respectives. Nous avons entre autre Kaboom, l’experte en explosif comme son nom l’indique, Vostok la mercenaire, Brescia et Octave des cambrioleurs de haut vol etc etc. Au fur et à mesure de la découverte des différent membres de l’équipe, je me suis dit que leur rencontre allait être détonante, que le casse serait grandiose , mais malheureusement cela n’a pas été le cas. J’ai eu l’impression que tout retombait comme un soufflet et j’ai eu du mal à retrouver l’entrain et le dynamisme de la première partie lors des deux dernières parties.
J’avais eu lors de ma dernière lecture SF, beaucoup de mal avec le vocabulaire employé. Cela n’a pas été le cas cette fois ci. L’auteur emploi un lexique nettement plus accessible aux novices comme moi. Son style est fluide, dynamique et alerte. Je pense que c’est essentiellement du à l’utilisation de phrases nominales. J’ai été un peu déroutée au début, n’étant pas vraiment habituée à ce style d’écriture mais je m’y suis rapidement fait.
En conclusion, Le casse du continuum, est un roman agréable à lire mais qui pèche réellement par la construction de son récit. Après une première partie entrainante où on se prend d’affection pour tout nos compères, les deux dernières parties se révèlent être sans grande surprise et parfois un peu longue.
Un grand merci aux éditions Folio de m’avoir permis de lire ce
roman
roman
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