J’ai eu par le passé l’occasion de feuilleter les ouvrages de la prêtresse du rangement Mari Kondo, mais aussi de la reine de la simplicité Dominique Loreau. A chaque fois, ils provoquaient la même réaction chez moi : l’agacement! Comment ne pas s’énerver quand Mari Kondo préconise de ne garder que les passages les plus important de nos bouquins préférés et de se débarrasser du reste! Le passage qui m’avait le plus fait hurler intérieurement, était celui où elle conseillait de faire un grand tri dans nos papiers administratifs notamment en en jetant nos fiches de paies qui s’accumulent mois après mois… Enfin bref, ces ouvrages ne trouvaient pas écho en moi, moi la reine de l’encombrement et du bazar!
Je me suis donc précipitée sur De la joie d’être bordélique, qui pour le coup était un titre qui me parlait bien. Ce court essais d’environ 80 pages, nous permet de déculpabiliser avec beaucoup d’humour. Jennifer McCartney ne nous donne pas de conseils réellement applicables comme les deux auteurs précédemment cités pour amplifier notre tendance bordélique (Quel dommage!) mais elle cite différentes situations où tout le monde se retrouvera. Elle nous donne la possibilité de souffler, d’assumer notre bazar, et de finalement bien vivre avec. Si avoir des piles de livres partout chez nous, nous rend heureux, pourquoi s’en priver?
En conclusion, De la joie d’être bordélique, est un livre qui fait du bien. Il nous permet de lâcher prise et d’attaquer le grand nettoyage de printemps qui se profile à l’horizon avec l’esprit bien plus léger!
Avenael
Vu le titre, il semble parfait pour moi !
J'avoue vivre dans un capharnaüm improbable, avec mon homme qui range mais qui s'interdit de mettre de l'ordre dans certaines pièces (mon bureau…).
lilichat
Vu ce que tu dis, effectivement ce livre est pour toi^^ J'ai beaucoup de mal avec le rangement mais depuis que je suis en couple je fais des efforts. Je me réserve une pièce pour tout mon petit bazar^^